Longtemps passé pour le chien de garde des finances publiques en République Démocratique du Congo, Jules Alingete Key, que l’on peut surnommer Monsieur JAK, est plutôt le diamétralement opposé de ce qu’on le croit être. L’homme a longtemps tiré profit de sa renommée imméritée pour commettre un nombre incalculable de dégâts.
À travers le travail qu’il s’est attribué, contrairement à ce que les congolais attendaient de lui, il se permet de bloquer les dossiers de certains entrepreneurs, non à cause de sa rigueur d’Inspecteur Général des Finances, mais plutôt animé d’une mauvaise intention, à savoir, celle de se faire important auprès de ces derniers, afin qu’ils reviennent le chercher et lui glisser, sans tambour ni trompette, quelque chose en sous-main.
Profitant de leurs positions de faiblesse découlant du fait pour eux de se déplacer vers lui, chaque fois que le besoin de négocier de nouveau se fait sentir, Monsieur JAK, entendez : Jules Alingete Key, s’est permis de faire de l’argent, sous l’apparence de son costume d’Inspecteur Général des Finances, qu’il ne porte que pour dissimuler ses coups bas.
L’homme a réussi à récolter un succès gratuit qui ne correspond en rien à ce qu’il est en réalité. Avec son costume d’ IGF, il a réussi à se composer un visage qui le fait passer pour quelqu’un qui a de l’amour pour le pays, via ses patrouilles financières qui n’ont jusqu’ici rien apporté.
Cet ancien collaborateur d’André Philippe Futi, on se rappelle de lui, à travers les pages d’une histoire proche, dans ses cachotteries avec le dossier Bolloré que nous pourrons évoquer en profondeur dans une autre occasion.
Depuis son élévation au titre d’Inspecteur Général des Finances, l’homme s’est donné le luxe de porter le masque d’un saint sans être, au regard de sa propre conscience, en odeur de sainteté avec lui-même.
Mettant à profit le culte de personnalite dont il est bénéficiaire de la part de la majorité des Congolais qu’il prend pour des dupes, Monsieur JAK est parvenu à tromper la vigilance de tous en s’acaparant une richesse illicite à l’insu même de l’oeil le plus clairvoyant.
Il y va de même pour ses inspecteurs envoyés dans des ministères et entreprises où ils ont fini par briller par une »rapacité » notoire qui ne dit pas jusqu’ici son nom.
Ces inspecteurs qui prétendent savoir inspecter, alors qu’ils ne connaissent pas grand chose en la matière, sont auteurs de pas mal d’irrégularités. Pourquoi ne pas qu’ils retournent à l’école en vue d’un quelconque recyclage ?
Jules Alingete s’est permis de bloquer le système économique du pays en faisant de l’inspection Générale des Finances un lieu de négociations des dossiers, où ceux des gens non avertis font l’objet d’un blocage qui lui permet de se faire important vis-à-vis d’eux pour des raisons ci-haut évoquées. Tout se passe à contrevent de la mission pour laquelle il été placé à ce poste. Monsieur JAK, à mieux le regarder de près, est l’un de ceux qui sont à la base des impaiements des agents de l’État qui prévalent à l’heure actuelle, à l’échelle de la République Démocratique du Congo.
Il a pour complice numéro un, Monsieur Nicolas Kazadi, en sa qualité de »ministre des Finances ». Les deux sont en train de militer en faveur du délabrement du système économique national.
Il n’est un secret pour personne que Jules Alingete va d’exagération en exagération, jusqu’à s’atribuer des compétences qui ne sont pas les siennes.
C’est le cas par exemple du fameux dossier relative à l’opérateur économique malien, patron de Selectra RDC SARLU, qu’il avait accusé d’avoir reçu du trésor public une très forte somme d’argent, sans avoir en contrepartie installé à travers les rues de Kinshasa, les lampadaires qui faisaient l’objet du contrat.
Si son accusation pouvait valoir son pesant d’or, là où il a fauté, c’est au niveau du fait qu’il s’est permis l’audace d’avoir intimé l’ordre à la Direction Générale de Migration, à travers sa lettre à l’intention du Directeur Général de la dite Direction, d’interdire la sortie du territoire national du sujet malien en question, comme si c’est lui la Justice.congolaise.
Ce qui est encore pire chez lui, c’est le fait qu’il a réussi, à l’heure actuelle, à arrêter le paiement des fournisseurs congolais par les entreprises publiques. La conséquence qui en a découlé, c’est que : les affaires de petites entreprises congolaises ont arrêté complètement de tourner. Elles sont toutes à l’heure actuelle bloquées à cause du fait pour elles d’avoir utilisé tous leurs petits capitaux en faveur tant du pouvoir étatique que des entreprises publiques.
Jules Alingete et son connivent Nicolas Kazadi, »ministre des Finances », sont en train, faut-il le répéter, de contribuer, en toute connaissance de cause, à l’effondrement de l’Économie national.
C’est dans la mesure où ils empêchent les entreprises tant publiques que privées de fonctionner en bonne et due forme.
Ce qui est marrant, c’est que : les mandataires publics sont depuis un certain temps, dans leurs gestions de tous les jours, l’objet des immixtions intempestives, de la part des inspecteurs des finances, ci-haut déplorés, qui viennent les intimider presque à chaque lever du soleil, pour des motifs autres que ceux pour lesquels ils ont été embauchés.
LE TONNERRE
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