Le Directeur Général de la Direction Générale des Impôts de la République Démocratique du Congo, Barnabé Muakadi Muamba, se veut déterminé à ne rien laisser passer inaperçu en termes de mobilisation des recettes. C’est ce que confirme la dernière Note de Conjoncture Économique de la Banque Centrale du Congo. À en croire cette dernière, la DGI a reussi à mobiliser pour les 12 premiers jours du mois d’avril, un total équivalant à 238, 9 milliards de CDF.
Voilà ce qui constitue un bon présage pour la partie des recettes qui reste à mobiliser d’ici Fin avril. Comme toujours, faut-il le souligner, le DG Muakadi reste aligné derrière la vision du Chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi, en participant de manière régulière à la conjugaison des efforts dans le sens d’une meilleure mobilisation des recettes. Le patron de l’administration des Impôts à l’échelle nationale a choisi de garder ferme son optimisme quant à l’idée selon laquelle : il n’y a que l’impôt qui permettra à la RDC d’avoir à la fois la politique de ses moyens et les moyens de faire sa politique.
C’est de là que vient son permanent souci de faire du paiement de l’impôt une obligation à laquelle doit s’assujettir toute personne, tant physique que morale, concernée par la chose. L’idée, c’est d’élargir de plus en plus l’assiette fiscale.
C’est dans cet ordre de choses qu’il est en train de viser toujours plus haut en ce qui concerne la mobilisation des recettes.
C’est aussi la raison qui justifie ses campagnes de sensibilisation de ces derniers temps à l’endroit des agents économiques, en vue de l’obtention de l’identifiant unique.
Pour mieux contribuer à la maximisation des recettes publiques, Barnabé Muakadi s’appuie à la fois sur sa rigueur et sur sa détermination à mener à bien les choses, sur le plan fiscal. C’est sans oublier le dévouement de ses agents qui ne cessent de faire preuve de leurs fructueuses participations à l’atteinte et aux dépassements, par la DGI, des assignations budgétaires.
Cela n’est pas sans sa lutte acharnée contre à la fois la fraude, l’évasion fiscale et le coulage des recettes.
Voilà ce qui justifie sa grosse part dans la mobilisation des recettes publiques du mois de mars de l’année 2024, laquelle équivaut à 671,6 milliards de CDF, sur un total évalué à 1490,2 comme recette globale en provenance de toutes les trois régies financières de la RDC.
Si l’on ajoute ses dépassements budgétaires de deux mois précédents, à savoir : janvier et février, il paraît clair que le tout vaut à la DGI le mérite d’avoir fourni la part du lion dans le cumul de trois mois que constitue le premier trimestre fiscal, lequel équivaut à 1599 milliards de CDF.
Sa mobilisation des recettes relatives aux 12 premiers jours ci-haut évoqués, faut-il le reconnaître, va dans la même lancée, en lien avec le second semestre sous expectative.
Fort de ses plus de 4 ans de record dans ce domaine des assignations budgétaires, avec des chiffres toujours hors pairs, ce grand mobilisateur des recettes, promet de nouvelles performances, peu importe les moments difficiles que la RDC est en train de traverser à l’heure actuelle. C’est allusion faite par exemple au climat sécuritaire volatile en train de prévaloir à l’Est du pays, avec ses impacts sur l’économie nationale.
Il compte à cet effet, pour parler franc du point de vue technique, sur l’élargissement de l’assiette fiscale, ci-haut souligné, ainsi que sur l’application de diverses mesures législatives et administratives, cas de l’opérationnalisation de la facture normalisée et celle des dispositifs électroniques fiscaux.
Sur le plan des contribuables, ce grand stratège des chiffres compte tabler au plus haut point sur la contribution du secteur minier, sans laisser de côté l’idée de la poursuite des actions relatives à la fois à la retenue et au reversement de l’impôt professionnel sur les revenus des agents et fonctionnaires de l’État. C’est sans oublier celles à l’intention des membres des institutions politiques tant nationales que provinciales.
Il ne laissera pas non taxés les nationaux engagés au sein des missions diplomatiques et consulaires et, encore moins, ceux qui le sont au sein des organismes internationaux.
Ses dépassements des assignations, faut-il le faire remarquer, sont venus comme en appui à la prophétie du Chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi.
Rappelez-vous, lors de son discours de campagne électorale, le Chef de l’État avait lancé l’idée d’élever le budget de la République Démocratique du Congo jusqu’à la hauteur de 10 milliards de USD. Beaucoup de ceux qui avaient ri à gorges déployées, autour de cette partie de son discours, sont aujourd’hui obligés de revenir à la raison, dans la mesure où ils »le » croyaient impossible.
Barnabé Muakadi a donc réussi à faire accomplir avec succès la foi politique du Président de la République.
Voilà que, à l’heure actuelle, la République Démocratique du Congo a réussi à aligner un budget national de l’ordre d’au moins 16 milliards d’USD. C’est grâce, entre autres, à l’apport des recettes mobilisées par la Direction Générale des Impôts, sous la houlette de son Directeur Général : Barnarbé Muakadi. C’est donc ici l’occasion de dire »bravo » à tous les trois, à savoir : la DGI, son DG ainsi que le Chef de l’État pour sa foi budgétaire.
Ses plus de 4 ans de record en termes de dépassements budgétaires, appuyés par des chiffres hors pairs dans la mobilisation des recettes, ne constituent pas, pour Barnarbé Muakadi, l’occasion de se reposer sur ses lauriers.
Bien au contraire, ce spécialiste des impôts, avec derrière lui plus de 27 ans d’expérience, continue à mettre en place des stratégies nouvelles pour que ces moments difficiles que la RDC est en train de traverser ne servent pas de prétexte à une quelconque sous-mobilisation des recettes.
Barnabé Muakadi fait du dépassement des assignations budgétaires un grand challenge dans la collecte des impôts.
Il est, qu’il faille le dire sans la peur d’être contredit, l’auteur des miracles fiscaux en République Démocratique du Congo. Ceci est donc le résultat d’un travail assidu, avec à la fois professionnalisme, rigueur et discipline.
Pour ceux qui ne le savent pas, le DG Barnarbé Muakadi est un serviteur de Dieu, Pasteur de Église »La Main de l’Éternel », à Matonge.
C’est à ce titre qu’il sait bien faire la part des choses entre ce qu’il est appelé à mettre dans la main de l’Éternel, en guise de dîmes et offrandes, et ce qui est destiné à être versé dans le Trésor public.
Donc, à le comprendre de très près, Barnabé Muakadi Muamba compte faire de la mobilisation des recettes le fer de lance de la croissance budgétaire en République Démocratique du Congo.
Le Tonnerre
