| Directeur Général de la DGI Barnabe Muakadi Muamba | Directeur Général de la DGDA Bernard Kabese musangu |
En vue de renflouer les caisses de l’Etat, il est de coutume désormais de la part du gouvernement de fixer des assignations budgétaires à tous les services d’assiettes, et de façon particulière, aux régies financières. Pour rappel, ces assignations sont un seuil minimum de l’argent à récolter que l’autorité budgétaire, en l’occurrence le parlement, fixe à tous les services étatiques pour un exercice donné. Et c’est au gouvernement que revient la charge de faire le suivi.
Des échos en provenance de la DGI et la DGDA à l’approche du premier trimestre de l’année en cours sont plutôt très encourageants.
En effet, les chiffres avancés, en termes des recettes réalisées, par les deux mandataires publics aux commandes de ces régies financières pour le seul mois de janvier, augurent des bonnes perspectives pour l’ensemble de l’année 2024.
A en croire les indications en provenance de la Banque Centrale du Congo, la DGI et la DGDA ont réalisé des performances inouïes au mois de janvier 2024, en dépit des effets néfastes de la guerre qui sévit à l’Est du pays sur l’économie nationale.
Selon la note de conjoncture de la BCC, les recettes douanières ont sensiblement augmentées en janvier 2024, et la même tendance pour les recettes non fiscales encadrées par la DGDA. Quant à la DGI, la collecte des impôts a avoisiné les 900 milliards de francs congolais.
Cela fait que la gestion efficace de ces deux régies par les Directeurs Généraux Bernard Kabese et Barnabé Muakadi, impacte réellement la marche vers le développement de la RDC, en ce sens que l’argent collecté par les deux régies permet à l’Etat de construire les infrastructures routières et socio-économiques de base, de payer ses agents et fonctionnaires, militaires, policiers et enseignants compris.
A n’en point douter, ces deux fils-maison, à savoir Barnabé Muakadi pour la DGI et Bernard Kabese pour la DGDA, de surcroît des technocrates avérés, ont prouvé combien ils ont un savoir-faire à nul autre pareil ailleurs, et combien ils sont sérieux dans ce qu’ils font au quotidien pour accompagner le Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, à transformer en réalité ses six engagements pris devant le peuple congolais, à l’occasion de son investiture, le 20 janvier 2024.
Très au parfum des rouages et du fonctionnement de leurs régies financières respectives, ces mandataires publics ont l’intelligence de travailler en symbiose avec leurs collaborateurs, ce qui leur donne la possibilité d’interagir en permanence avec leur personnel pour arriver aux résultats aussi performants.
On rappelle que déjà en 2021, Barnabé Muakadi avait réussi à réaliser l’exploit d’atteindre les assignations, alors que l’économie nationale se trouvait secouée par les effets de la pandémie du Corona virus. Ce succès l’a aidé à planter le décor pour la suite des exercices budgétaires.
C’est ainsi qu’en 2022, il est parvenu à doubler les assignations, au point de se voir décerner le prix de meilleur manager 2022 par le Forum North South Invest (NSI) de Houston, aux États-Unis.
Plutôt que de s’en contenter, il a redoubler d’efforts, en rééditant le même exploit en 2023.
Concernant le DG de la DGDA Bernard Kabese, il entre en scène justement en 2023, plus précisément le 02 juin, pour réaliser le dépassement des assignations budgétaires. Grâce à son savoir-faire, la DGDA a obtenu la palme d’or en terme de dépassement des assignations pour l’exercice 2023.
Comme on le voit, ces deux managers ont réussi à faire de leurs Établissements publics des véritables poules aux œufs d’or, tout en provoquant l’émergence de la fiscalité congolaise.
En effet, l’avènement de Barnabé Muakadi à la DGI et de Bernard Kabese à la DGDA, a fait évoluer ces deux régies financières, en les dotant des mécanismes, mais aussi des capacités humaines à mêmes de réaliser des recettes fiscales et douanières records.
Il. faut ajouter qu’à la base de toutes ces prouesses, il y a également la maîtrise par eux de leurs secteurs respectifs, ainsi que leur soumission à la vision du Chef de l’Etat et le respect scrupuleux des contrats de performance signés avec le gouvernement.
En 2024, il n’y a pas de raison que la tendance puisse être inversée. Au contraires, ces deux responsables ont déjà réussi à souffler l’espoir du dépassement des assignations, au vu des chiffres publiés pour le seul mois de janvier.
Fiko Kasongo
