Comme en 2019, le candidat malheureux Théodore Ngoy a de nouveau saisi la Cour Constitutionnelle en 2024 par une requête en contestation des résultats provisoires de la présidentielle rendus publics par la CENI, le 31 décembre dernier.
Dans sa requête, le candidat président de la République classé dernier avec 0,22% des voix dénoncent plusieurs irrégularités ayant entachées la crédibilité et la transparence des scrutins du 20 décembre 2023. Pour toutes ces raisons, Théodore Ngoy sollicite auprès de la Cour Constitutionnelle leur annulation.
Cependant, il sied de rappeller qu’en 2019, Théodore Ngoy a été débouté par la haute cour faute d’intérêt.
Classé dernier cette fois-ci encore, ce candidat malheureux, professeur de droit et avocat de profession, aurait dû intérioriser un principe célèbre du droit, à savoir : » Pas d’intérêt, pas d’intérêt ».
En se présentant devant la Cour Constitutionnelle, tout en sachant qu’il ne peut tirer profit du verdict même au cas où les irrégularités venaient à changer l’ordre d’arrivée, Théodore Ngoy veut tout simplement se taper une publicité, ainsi que bon nombre d’observateurs l’affirment. Pour d’autres analyses, Théodore Ngoy est un récidiviste en contestation non fondée, en quête de renommée internationale. Dommage.
Le Tonnerre