Tout est bon du côté des adversaires de l’honorable Fifi Masuka, candidate gouverneur de la province du Lualaba, sous la bannière de l’Union Sacrée de la Nation (cette méga plateforme présidentielle), pour essayer de l’écarter de la course.
A y voir de près, ces adversaires peu commodes ne pouvaient qu’adopter cette stratégie. Car, accepter de compétir à la loyale avec cette dame dont le bilan de sa gestion à la tête du Lualaba parle en sa faveur, est un pari perdu d’avance.
Raison pour laquelle ces gens se permettent tous les coups bas politiques afin de discréditer Fifi Masuka auprès de l’opinion et des députés nationaux.
Hier, on l’accusée de violer la loi électorale en présentant sa candidature sur deux listes différentes et avec deux différents colistiers. Après s’être rendus compte qu’il s’agissait des accusations infondées, ils ont abandonné cette voie pour imaginer cette autre énormité, à savoir que Fifi Masuka aurait déjà effectué deux mandats comme gouverneur de province, par conséquent, elle ne peut plus briguer un troisième mandat, conformément à la constitution.
Ici encore, les adversaires de Fifi Masuka veulent manipuler l’opinion par une interprétation erronée de la constitution. En effet, par rapport à cette question, il est connu de tous que Madame Fifi n’a jamais été élue Gouverneure de province. Par contre, elle a successivement été Commissaire spécial adjoint, Vice-gouverneur et Gouverneur ad intérim. Aucune fois, elle ne s’est présentée comme candidate dans une élection des gouverneurs au Lualaba.
Encore une fois, il s’agit des dénonciations fantaisistes qui démontrent à quel point les adversaires de Fifi Masuka ont la peur au ventre. Surtout que par rapport aux intentions de vote, cette dame est en pôle position.
Fiko Kasongo