Nicolas Kazadi victime d’une maffia bien structurée : 600.000 USD mis en jeu pour avilir son image.

Une association des malfaiteurs bien structurée en République Démocratique du Congo est en train de chercher à avilir l’image de gestionnaire intransigeant et incorruptible de Nicolas Kazadi au sein de l’opinion publique. Ils ont juré, avec des imprécations en appui, de finir par l’exposer à la vindicte populaire et à le séparer du Président Félix-Antoine Tshisekedi.
Pour tenter d’y parvenir, ils ont mis en place une stratégie jalonnée sur la manipulation de l’opinion et d’un certain nombre de journalistes qu’ils ont réussi à corrompre avec de gros billets de banque.

Selon notre source, il s’agirait en même temps d’une guerre de positionnement qui impliquerait certains collaborateurs du Chef de l’État, qui ont dans leur malveillant dessein le souci de s’approprier coûte que coûte, via celui qui va le représenter, le ministère des Finances. L’idéal chez eux, c’est de permettre à cette maffia de pouvoir retenir captives les finances publiques congolaises.

Les membres de cette indésirable association trouvent dans Nicolas Kazadi l’un des rares autour du Président de la République qui constitue un blocage à la réalisation de leur sale besogne.

En effet, la vérité vraie sur les affaires des forages et lampadaires sont loin de celles que présentent au public tous ces médias achetés à coup des billets verts ainsi que certaines officines, dont, en tête d’affiche, l’Inspection Générale des Finances.

D’abord, en ce qui concerne leurs accusations, on peut remarquer tout de suite que celles-ci manquent de fondement et de cohérence. Ils pointent du doigt Nicolas Kazadi pour avoir surfacturé les marchés, alors qu’il n’est ni leur initiateur ni intervenant dans leur chaîne de validation. Ladite chaîne de validation, faut-il en donner un bref éclaircissement, est une
tâche réservée à la Direction Générale de Contrôle des Marchés Publics (DGCMP), à l’Autorité de Régulation des Marchés Publics (ARMP), à la Primature, à l’Hôtel de Ville de Kinshasa et au Ministère de Développement Rural.
Leur accusation selon laquelle Nicolas Kazadi a payé des factures en mode d’urgence est un argument qui ne peut pas tenir débout, d’autant plus qu’il découle de leur ignorance totale des pratiques dans la gestion de la chaîne de dépenses.
. Au sujet de l’Affraire des lampadaires, tout le monde sait que ce marché a été initié par le gouvernement provincial de Kinshasa, que dirige le Gouverneur Gentiny Ngobila, avant sa validation par toutes les instances décisionnelles de la ville et du pays.

À en croire l’Hôtel de Ville de Kinshasa, en sa qualité d’initiateur du projet, c’est la Société Solektra de l’homme d’affaires Samba Bathily qui a remporté le marché, pour avoir présenté la meilleure offre, à savoir : 5.000 USD par lampadaire avec une large game de services.
Pour manipuler l’opinion, les détracteurs de Nicolas Kazadi vont parler de la surfacturation, sans être en mesure de présenter les détails de l’offre, y compris leurs spécificités techniques, ni publier les offres des autres soumissionnaires pour donner à tout le monde une idée claire sur les standards recherchés par l’hôtel de ville de Kinshasa.

Mais là où ce dossier devient louche, c’est lorsqu’intervient un conflit d’intérêts réel.
Tenez, parmi les soumissionnaires enregistrés par l’Hôtel de Ville de Kinshasa pour ce marché, il y avait la Société Proton du Groupe indien Rawji, également propriétaire de la Rawbank. Cet indien est conseillé par un cabinet de consulting que dirige l’épouse de l’Inspecteur Général des Finances, chef de service Jules Alingete Key. Soit dit en passant et comprenez-y quelque chose, Jules Alingete est un ami personnel de Gentiny Ngobila, tous deux originaires de Mai- Ndombe.
L’ offre de Proton qui était de 6.000 par lampadaires, défendue par la femme de Jules Alingete, n’a pas été retenue parce que jugée non compétitive. Selon des indiscrétions, cela aurait suscité la colère de l’inspecteur Général des Finances qui n’attendait que le bon timing pour se venger. Au lieu de se venger sur des personnes qui ont recalé l’offre défendue par son épouse, il a choisi Nicolas Kazadi pour une raison bien simple : prendre sa place au ministère des Finances et préparer la présidentielle de 2028, avec le statut de dauphin.

Foi sur notre source, au-delà de ce conflit d’intérêts, Jules Alingete a toujours été pointé du doigt pour son populisme et sa propension à salir les efforts du Chef de l’Etat, attitude qui cacherait des ambitions professionnelles pour 2028.
N’appréciant guère le Ministre Nicolas Kazadi, pour les mêmes raisons que tous les autres maffieux de leur cartel, Jules Alingete qui a acheté quasiment toute la presse congolaise, y compris celle qui s’est distinguée dans les insultes contre le Président de la République, convoite le ministère des Finances, après avoir échoué à obtenir la Primature. Il veut alors écarter Nicolas Kazadi et se dresser un boulevard pour le Palais de la Nation. Et ainsi, par son entremise, son Cartel maffieux pourra contrôler l’après Tshisekedi.

Comme on peut aisément s’en apercevoir, c’est pour les mêmes raisons, ainsi que celles da manipuler et de soulever la population, qu’ils ont indexé Nicolas Kazadi dans le projet d’installation des stations de collecte, traitement, et distribution d’eau, abusivement appelées  » forages ». Pourtant, tout le monde sait que ce projet est parti du ministère de Développement Rural à l’époque du Premier Ministre Ilunga Ilunkamba et avait franchi toutes les étapes de validation et ce, loin avant que Nicolas Kazadi ne soit nommé Ministre des Finances.

À sa nomination à ce poste ministériel, Nicolas Kazadi va émettre des réserves, après avoir analysé le projet, quant aux coûts présentés. Il va heureusement obtenir la renégociation sur les prix et le prestataire va accepter une baisse de près de 40% du coût global, ainsi que l’augmentation des stations à installer. C’est ainsi que le nombre est passé de 1.000 à 1.400 stations pour un coût unitaire de 300.000 USD, au lieu de 400.000 USD présentés précédemment.

Sur le total à payer, Nicolas Kazadi n’a payé que 71 millions de dollars américains, conditionnant le payement de la deuxième tranche par l’installation effective du nombre de stations correspondant aux montants déjà décaissés. Si vraiment Nicolas Kazadi était dans le coup, il aurait payé ce montant en totalité et empocher vite sa part.

Aussi curieux que cela parait, c’est pendant ce moment des tractations politiques pour la formation du nouveau gouvernement que Jules Alingete et son cartel choisissent pour remettre ces différents documents à la presse de façon orientée pour manipuler l’opinion et ainsi contraindre le Président de la République de ne pas reconduire son fidèle serviteur qui a obtenu des résultats historiques à la tête du ministère des Finances qu’aucun de ses prédécesseurs n’a pu avoir.

En toute évidence, Nicolas Kazadi n’est qu’un bouc émissaire, utilisé par ceux qui convoitent le trône du Palais de la Nation et doivent pour cela jeter l’opprobre sur ses efforts et ses réalisations d’une part, et d’autre part, écarter tous les fidèles collaborateurs de Félix Tshisekedi qui peuvent l’aider à avoir un bilan et un successeur de son choix à présenter à la population pour la continuité de sa vision.

C’est avec raison que le Ministre Nicolas Kazadi vient de prendre le devant pour demander au Procureur Général près la Cour de Cassation de pouvoir élargir ses enquêtes aux questions liées aux coûts.

Il nous revient qu’en ce moment, Jules Alingete Key et le Groupe Rawji s’activeraient à humilier le Ministre Nicolas Kazadi, en obtenant de la justice sa mise en détention provisoire, ensuite faire trainer la procédure aussi longtemps que possible. Le but étant d’empêcher sa reconduction, d’une part, et de l’autre, l’enterrer politiquement en lui collant l’étiquette d’un détourneur des deniers publics.
Pour réaliser cette entreprise diabolique contre Nicolas Kazadi, une somme de 600.000 dollars américains aurait été déboursée, destinée à corrompre l’appareil judiciaire et orienter à leur guise les informations dans la presse.

Dossier que nous suivons de près.

Le Tonnerre.

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