La ministre des Affaires sociales, Actions humanitaires et Solidarité nationale, Nathalie Aziza Munana, a reçu les chefs de confessions religieuses de la RDC, alignés sous la houlette de L’Évêque gèneral Ejiba Yamapia.
La rencontre a eu lieu dans la salle de réunion de son ministère.
C’était l’occasion pour les hommes de Dieu de faire une reddition d’hommage à madame en charge des Affaires sociales, Actions humanitaires et Solidarité nationale pour ses grandes réalisations dans ces trois domaines, depuis son élévation à ce poste.
Ces hommes de Dieu ont reconnu en leur hôte une femme toujours au chevet des vulnérables : veuves des militaires , orphelins de guerre , personnes de troisième âge et les autres nécessiteux de la partie Est et Sud-Est de la République Démocratique du Congo.
Ces hommes de Dieu n’ont pas loupé cette opportunité qui leur a été offerte pour promettre à madame Aziza Munana leur accompagnent dans cette lourde tâche.
Dans leurs échanges les serviteurs de Dieu ont montré leur satisfecit relatif à cette opportunité qui s’est ouverte et qui les a aidés à consolider les partenariats’ avec le ministère des Affaires sociales, Action humanitaire et Solidarité nationale.
Les œuvres de madame Aziza, faut-il le souligner, dépassent les frontières.
Nathalie Aziza n’est pas que cette plus belle femme du monde qui ne donne que ce qu’elle a. Elle, est une plus belle femme du monde qui donne ‘au-delà de ce qu’elle a.
La ministre des Affaires sociales, Actions humanitaires et Solidarité nationale a en vue, dans sa valise humanitaire, plusieurs autres actions à l’intention des vulnérables, dont celles qu’elle a en commun avec l’Église ici valablement représentée.
Ces actions paritaires entre les hommes de l’Église et madame la ministre en charge des Affaires sociales, Actions humanitaires et Solidarité nationale sont attendues dans les tout prochains jours.
La raison d’être de cette grande sortie humanitaire est de redonner aux personnes, affligées par les affres de la guerre, le sourire qu’elles ont longtemps perdu.
Le Tonnerre