RDC/Gestion des Affaires publiques : Blaise Lumu recadre certaines autorités politiques et administratives


Blaise Lumu est un fervent combattant de l’UDPS pour la défense de laquelle ainsi que pour celle de la démocratie et du progrès social qu’elle.défend, il a subi plusieurs emprisonnements, surtout à l’époque de Joseph Kabila.

Après avoir, en sa qualité de sentinelle de la République, observé la mauvaise conduite de certaines autorités politiques et administratives de la République Démocratique du Congo de l’heure actuelle, il a pris l’ingénieuse option de tenir un point de presse pour en parler avec les gens du 4è Pouvoir.

Le rendez-vous a eu lieu, samedi 2 novembre, en son domicile, situé à Matete, aux alentours du majestueux Pont qui mène vers l’Échangeur de Limete.

Durant son propos liminaire ainsi que le moment des questions et réponses qui s’en est suivi, il a utilisé des mots justes et pleins de contenus pour recadrer quelques-uns de ces autorités.

Le nom de Raïssa Malu Dinanga, ministre d’État en charge de l’Éducation nationale et Nouvelle citoyenneté, ainsi que celui de Jean-Michel Sama Lukonde, Président de la Chambre haute du Parlement, ont figuré en première place.

À en croire Blaise Lumu, Raïssa Malu est une  »branche armée » du fervent kabiliste Marker Mwangu, son lointain prédécesseur à ce poste, précisément à l’époque de Joseph Kabila.

L’homme est à l’heure actuelle patron d’une o.n.g. chargée des affaires scolaires et affiliée à la Banque Mondiale.

Pour mieux faire marcher son organisation non gouvernementale., il l’a estimée de bon augure l’idée de s’octroyer une antenne au sein du gouvernement national et précisément dans les sillages du ministère de l’Éducation nationale.

Son marqueur a réussi à surligner, comme antenne, le nom de Raïssa Malu elle-même, femme à la tête du dit ministère, à qui il a donné, comme dircaba, un certain  »x » Mwangu, son propre fils biologique.

Raïssa Malu a pour mission de la part de Marker Mwangu, au sein de ce ministère d’État placé sous sa responsabilité, celle de faire disparaître la gratuité y instaurée par le Chef de l’État.

À en croire ses murmures parvenues aux oreilles de Blaise Lumu, en sa qualité de sentinelle de la République, cette affaire de gratuité porte atteinte aux intérêts du père de son directeur de cabinet…, en tant que patron de l’o.n.g. ci-haut évoquée.

Voilà ce qui justifie toutes ces grèves à répétitions qui ont lieu tous ces derniers temps dans le monde des enseignants de la République Démocratique du Congo, qui prévoient en même temps de décréter une année blanche.

Le parrain de Raïssa Malu doublé de père de son dircaba n’a pour seule idée en tête, celle d’éblouir la vision du Chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi, sur l’éducation nationale.

Il a à cet effet réussi à éloigner du ministère d’État qui a en charge cette question tous ceux qui sont derrière cette vision du Président de la République.

C’est le cas de l’Inspecteur Jaques Odia Musungayi et du directeur Papy Mangobe Moleka de la DINACOPE qu’il a réussi à faire mettre à la porte et à faire  »subroger » par ses propres hommes.

Il s’agit de Messieurs Hubert Kimbonza et Boniface Mbaka Ngapembe, respectivement nouvel Inspecteur Général de l’Éducation national…et nouveau directeur de la DINACOPE, Direction Nationale de Contrôle et de la Préparation de la Paie et de la Maîtrise des Effectifs des Enseignants en RDC.

Hubert Kimbonza, a-t-il rappelé, n’est rien d’autre que cet homme que Joseph Kabila, à l’époque d’Adolphe Muzito comme Premier Ministre, ne voulait pas voir élevé à ce poste d’Inspecteur Général, d’autant plus qu’il trouvait en lui quelqu’un d’incompétent pour servir l’Administration publique.

C’est cet homme-là qui s’est retrouvé aujourd’hui dans le rouleau de l’arrêté de Raïssa Malu,  »branche armée de Marker Mwangu.

Foi sur les propos de Blaise Lumu, son indésirable nomination ne peut que sortir de la tête de Marker Mwangu à qui il servait de garçon de course à l’époque où il était ministre de l’Enseignement Primaire, Secondaire et  »Technique ».

Blaise Lumu a livré une autre révélation autour de ce nouvel I.G. de l’Éducation nationale et Nouvelle citoyenneté.

 »Une fois, à l’époque de Tony Mwaba, il était allé voir ce dernier pour lui demander, avec promesse de lui payer 50 000 $ par mois, de le mettre à la place de Jaques Odia Musungayi ».

 »Ôte-le que je m’y mette », avait-il supplié le ministre avec enveloppe en mains, mais sans succès.

Quant à Boniface Mbaka, Blaise Lumu a parlé de lui comme étant un vieux routier du PPRD qui est parmi ceux qui ont juré de ne jamais trahir Joseph Kabila.

C’est au même titre que Marker Mwangu qui aurait soufflé l’idée de son indésirable nomination à Raïssa Malu.

Comme de coq à l’âne, mais dans le même ordre des choses, Jean-Michel Sama Lukonde a lui aussi été cité parmi les autorités politiques congolaises qui sont en train de se méconduire.

La méconduite du Président de la Chambre haute du Parlement est connue de tous, dans la mesure où elle se passe sur la voie publique.

C’est à travers ses gros camions qu’il envoie ramasser des véhicules qu’ils accusent, sous le faux label de la Police Nationale Congolaise,  »d »avoir mal stationné ».

Ces véhicules ramassés, sont amenés par les complices de Sama Lukonde, allusions faite aux policiers de roulage, dans des fourrières où ils passent des heures entières jusqu’à ce que leurs propriétaires ou conducteurs paient une contravention à la PNC, sa complice, en plus d’une autre somme d’argent de l’ordre de 100 $ qui va, elle, dans la poche de sa société qu’il a en actionnariat avec les indiens.

Blaise Lumu a révélé beaucoup d’autres choses dont l’intrusion des avantages des rwandais et ceux des occidentaux dans la Constitution actuelle de la République Démocratique du Congo qu’il soumet, en même temps, à la révision, même moral avec le Chef de l’État.

Il a par rapport à ça sollicité l’implication de Constant Mutamba à qui il a jeté des fleurs de félicitation en tant que Restaurateur du droit et de la Justice en République démocratique du Congo.

Au regard de la course au pouvoir qui prévaut au sein de l’UDPS entre Augustin Kabuya et Déo Bizibu, Blaise Lumu a balayé d’un revers de la main les deux adversiares et propose au Chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi, en sa qualité d’autorité de référence, de mettre en leurs lieux et places une troisième personne qui maîtrise le mieux l’idéologie du parti.

Saint-Germain Ebengo

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