L’épidémie de la variole des singes,.de l’anglais « Monkeypox » est en train de sévir avec une très forte prévalence dans les pays africains,.où en République Démocratique du Congo, nous voici déjà arrivés à 16700 cas, soit 1000 cas par semaine sur toute l’étendue de la République et avec déjà plus ou moins 570 décès,, a-t-on appris du Docteur Jean-Jacques Mbungani, Ministre honoraire de la Santé Publique en République Démocratique du Congo et qui est à l’heure actuelle Député national.
À l’en croire l’OMS vient déjà de déclarer cette épidémie comme une urgence sanitaire à portée internationale. C’est avec,. faut-il le souligner, une prévalence aigue à l’échelle de l’Afrique où elle est déjà déclarée une urgence de santé publique à l’échelle continentale.
L’honorable Docteur Jean-Jacques Mbungani se dit être à l’heure actuelle,.en sa double qualité de médecin et.de.député national, au carrefour d’une floraison de questions et préoccupations en provenance de plusieurs parents d’élèves au sujet de l’impact que peut avoir cette épidémie sur la rentrée des classes.
Dans sa réaction aux parents, il prie ces derniers de ne pas s’inquiéter et d’adopter une attitude à la fois calme et vigilante.
Pour lui les enfants doivent normalement rentrer à l’école.
« Mais en cas d’un signe interpellateur ; forte température, éruptions cutanées qui peuvent se révéler vésiculo-papuleuses, il faudra que l’enseignant fasse retourner l’enfant à la maison et les parents, l’amener aux autorités sanitaires ou aux acteurs de la santé,.à l’hôpital ou dans un centre de santé », a-t-il conseillé avant de déclarer non intéressant le fait pour un parent d’amener à l’école un enfant qui présente des symptômes de température ou d’éruptions.cutanées
De son point de vue de médecin, il faut prioriser d’abord les soins, car, foi sur ses propos d’expert, l’école est un lieu d’attroupement de plusieurs enfants et où un enfant atteint risque de.contaminer.de proche en proche ses camarades bien portants.
Dans sa récapitulation, il insiste qu’il n’est pas bon que l’enfant atteint soit au contact d’autres enfants, de peur que la situation prenne des proportions de plus en plus aggravantes.
Il appelle donc le corps enseignant, les parents d’élèves et les élèves eux-mêmes à adopter des mesures de prudence afin que soit évitée la propagation à grande échelle de cette indésirable épidémie.
Le Tonnerre