Un groupe de personnes mal intentionnées, et qui se disent être de l’Onatra, accusent gratuitement et sans preuves le Dg Martin Lukusa, Directeur général du dit office, d’avoir, entre autres, détourné l’argent destiné à la paie du personnel, équivalant à 9 millions de $, vendu le port fluvial et spolié un immeuble à la Gombe faisant partie de l’immobilier de l’Office National des Transports.
Pendant ce temps, la fausseté de cette accusation à trous volets se justifie dans une série de manques d’informations que ces gens ont en tête.
Le premier de ces manques d’informations est celui relatif au projet de relance des activités de l’Onatra initié par le Chef de l’État lui-même, Félix-Antoine Tshisekedi, au respect duquel le gouvernement Suminwa a eu à autoriser un versement de 21 millions de $, pour le compte de l’Onatra, assortis de 8 millions d’intérêt.
C’est en plus d’avoir instruit Equity Bank de réaliser ce transfert à titre d’un emprunt qui sera en intégralité remboursé par le Trésor public.
Il faut souligner que dans ce même ordre des choses, l’option qui a préalablement été prise par le gouvernement avait fait état d’une somme de l’ordre de 30 millions plus 9 millions d’intérêt.
Cette option-là, faut-il y apporter l’explication, avait été abandonnée, justement à cause des contraintes qui avaient été imposées par le FMI, Fonds Monétaire International.
Ce dernier, soit dit en passant, ne permet de réaliser qu’au prorata des recettes publiques récoltées.
Voilà en clair ce qui justifie le recours quelques fois par le Gouvernement aux emprunts auprès des banques commerciales qui lui permettent de financer certains projets prioritaires.
Au chapitre relatif au port fluvial, ces accusateurs improvisés sont ignorants du fait que ce dernier, depuis que l’Onatra a été transformé en entreprise commerciale, se trouve sous une gestion partenariale entre l’Onatra et une structure privée en mode PPP, entendez Partenariat Public Privé.
C’est dans cet ordre des choses que Martin Lukusa, en bon manager, s’est fait le devoir de mettre en place un plan de développement en vue d’une meilleure marche des affaires au sein de l’Office National des Transports.
Pour ce qui est de l’immobilier de l’Onatra, l’ignorance de ces gens leur a aveuglés les yeux sur le fait que la vétusté dans laquelle se trouvent pendant ce temps la plupart des immeubles de l’Office vaut à ces derniers d’être complètement remis à neuf.
Voilà ce qui justifie la démolition, à l’heure actuelle, de certains parmi eux, en perspective de leur reconstruction dont les travaux vont démarrer très bientôt.
Vu tout ce qui précède, il serait donc nul et non avenu de parler au sein de l’Onatra soit d’un quelconque détournement des fonds, soit d’une quelconque vente du port, ou soit encore d’une quelconque spoliation de son immobilier.
Ces accusateurs, faut-il les démasquer, ne sont que des oiseaux de mauvais augure qui veulent avilir l’image de marque de l’Onatra ainsi que celle de son Directeur général, Martin Lukusa Panu, dont ils cherchent en même temps à décourager les bonnes initiatives qu’il est en train de prendre nuit et jour pour remettre l’Onatra sur ses bonnes voies d’antan.
Le Tonnerre