La.situation est plus que dramatique ces derniers temps au sein des entreprises du Portefeuille de la République Démocratique du Congo.
C’est le cas de la Société Nationale d’Électricité, (SNEL), la Caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS) ainsi quende l’Office de Gestion du Fret Multimodal (OGEFREM).
À la SNEL la situation est plus que dramatique. Cette société, qui a en charge l’électricité de la République Démocratique du Congo , ne remplit pas valablement son rôle.
La plus grande partie du pays est jusqu’ici dans le noir avec.tout ce qui s’en suit.
La République Démocratique du Congo, en sa qualité de pays à forte potentialités minières, n’arrive pas à s’mposer dans l’échelle économique mondiale, à cause bien évidemment de la SNEL qui n’arrive pas à lui offrir de la bonne.électricité.
L’homme à sa tête, allusion faite à son Directeur Général en exercice,.est doté d’une incompétence qui ne permet pas à la SNEL de rendre de bons et loyaux services à la RDC.
C’est au point qu’il manque.ajourd’hui, même des câbles.
Voilà ce qui justifie l’arrivée.des lots des câbles que la Banque Mondiale vient de mettre à sa disposition.
Ces câbles que la Banque mondiale vient de mettre à sa disposition, en guise d’un prêt, risquera de mettre la SNEL dans une situation difficile. Alors qu’avec ses ressources financières propres, il peut s’acquérir les mêmes.câbles en plus grand ‘nombre et à moindre frais.
Le Directeur Général en exercice de la SNEL s’avère incapable de faire jouer pleinement à la SNEL son rôle d’antan.
L’homme, par son incompétente devenue notoire, est en train de détruire à petit feu la volonté d’un peuple congolais qui n’a jusqu’ici que la SNEL espérer la transformation de ses minérais.
La Banque mondiale à travers ses prêts à la SNEL a l’air de vouloir lui mettre la corde au cou.
La SNEL, avec la dette en nature qu’il a réçue risque de se retrouver dans un goulot d’étranglement
lorsqu’il sera arrivé l’heure pour lui de rembourser.
ERIC KAKA