La Société Nationale d’Electricité (SNEL S.A.) se trouve à l’heure actuelle dans une situation qui laisse de plus en plus à désirer. C’est avec à sa base, en premier lieu, l’incompétence de son Directeur Général en exercice, monsieur Fabrice Lusinde.
Cet homme placé à la tête de la Société Nationale d’Électricité n’a aucune maîtrise en matière de gestion entrepreneuriale.
Sa place à la tête d’une entreprise publique et technique comme la SNEL pose obstacle à la compréhension de pas mal de gens qui connaissent à la perfection son incompétence, devenue de plus en plus notoire.
Sa gestion est plus qu’apocalyptique et tout au sein de la SNEL évolue désormais à reculons, comme à destination du point culminant de la dite incompétence qui a pris des proportions très alarmantes.
Au surplus, Fabrice Lusinde n’arrive à mettre en pratique aucune des théories qu’il prétendait maîtriser, à l’époque où il était encore Directeur Général adjoint.
L’Assemblée Nationale n’a pas eu tort à cette époque de voir derrière cette incompétence lusindienne un grand danger se profiler à l’horizon contre la République.
Voilà ce qui a été justificatif de sa décision de mettre dans les ténèbres du dehors cet incompétent de Directeur Général de la Société Général d’Électricité qui, durant son absence, avait repris le chemin de sa croissance.
Aussi curieux que cela puisse paraître, cette ombre de Lusinde avait fini par être réhabilitée à son poste de Directeur Général.
Cette réhabilitation, faut-il le souligner, n’a servi qu’à bloquer l’élan du redressement de la SNEL S.A. que venait d’amorcer le Directeur Général adjoint, Teddy Lwamba, qui assumait l’intérim et qui est heureusement aujourd’hui Ministre des Ressources Hydrauliques et Électricité.
Il faut citer au-delà de cette incompétence de monsieur Lusinde, qui n’est plus à démontrer, son caractère conflictuel qu’il n’arrête de faire prévaloir au sein du Comité de gestion de la SNEL S.A., où il a derrière lui un grand remous de conflits.
L’on se rappelle, à l’époque où il était encore Directeur Général adjoint, du fil à retordre qu’il n’arrêtait de donner à son titulaire, l’ancien Directeur Général, Jean-Bosco Kayombo, dans un conflit de compétences durant lequel il se permettait d’aller jusqu’au-delà de ses attributions.
Dans ce même ordre de rappel, il y a lieu de faire allusion au conflit ouvert qu’il avait réussi à créer entre lui et l’ancien Président du Conseil d’Administration, le P.C.A. Alphonse Kisolokele, sans oublier celui qu’il avait fomenté contre le ci-haut évoqué Directeur Général Adjoint, Teddy Lwamba, aujourd’hui, comme souligné ci-haut, Ministre des Ressources Hydrauliques et Électricité.
Un autre conflit qu’il avait créé, c’est celui contre le successeur du PCA Kisolokele aussitôt après son départ du Conseil d’Administration.
Autre chose : Lusinde n’est pas qu’incompétent et conflictuel ; il est.en 3è lieu un homme obscur dont on a retrouvé le nom dans des contrats privés qui éloignent la RDC de ses ressources importantes au profit des entreprises minières étrangères dans le Haut-Katanga et le Lualaba.
D »où la question de savoir : »Qui est cette main noire qui est derrière Fabrice Lusinde au détriment même des efforts du Chef de l’État qui lutte nuit et jour pour sortir la République Démocratique du Congo des ténèbres, en la dotant d’une bonne électricité pour tous.
Une chose est sûre, c’est que : plus on va garder cet homme à la fois incompétent, conflictuel et obscur, à la tête de la SNEL, plus longue sera la »nuit » dans ce domaine de l’Électricité en République Démocratique du Congo, avec des impacts sur, entre autres, l’exploitation minière.
Au regard de tout ce qui précède, il serait de bon augure pour les autorités du pays de se décider d’extirper une fois pour toutes ce virus qui a élu domicile au sein de »l’appareil électrique » congolais et d’installer en ses lieu et place quelqu’un qui maîtrise à la perfection son fonctionnement.
Nous y reviendrons avec force détails, avec en exergue le dossier des sociétés minières et celui relatif aux contentieux.
Eric Kaka